bio

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La Arnaud Deschin galerie est une galerie d’art contemporain, active à Paris depuis mi-2016. Mais elle s’inscrit dans le prolongement de La GAD, ouverte par Arnaud Deschin, à Marseille, en 2010. Nichée dans le 20e arrondissement, la Arnaud Deschin galerie cultive la pluralité des pratiques contemporaines. Peinture, photographie, collage, sculpture, installation, vidéo… Expositions personnelles et expositions collectives s’y alternent, entre émergences et artistes confirmés. Les mots, la littérature, le langage et les images forment l’une des trames possibles du lieu. Comme pour l’exposition personnelle d’Anne Le Troter, « De l’interprétariat », en 2016. Dans l’ensemble, la Arnaud Deschin galerie promeut la diversité et la pluralité. Pour son exposition inaugurale, « Berlin Est » (2016), la Arnaud Deschin galerie aura ainsi rassemblé des œuvres d’artistes comme Fabienne Audéoud (performance, installation), Tiphaine Calmettes (sculpture, installation), David Evrard (écriture, performance), Ibai Hernandorena (sculpture), Apolonia Sokol (peinture)… Et depuis 2010, Arnaud Deschin aura exposé des dizaines d’artistes internationaux, émergents ou confirmés. Dont Pierre Huyghe, Fayçal Baghriche, Gianni Motti, Ben vautier… Par ailleurs, la GAD et la Arnaud Deschin galerie multiplient leurs présences sur des foires et salons d’art contemporain. À l’instar d’événements comme YIA Art Fair (Paris), Docks (Lyon), Loop (Barcelone). Diplômé des Beaux-Arts de Marseille, Arnaud Deschin s’inscrit dans un réseau d’artistes engagés. Au fil de lieux comme Triangle France (Friche la Belle de Mai) à Marseille, ou le centre d’art La Station à Nice. Soit un art contemporain porté par les artistes et tourné vers l’action. À travers des gestes créatifs enclins à questionner les conventions culturelles. En 2016, par exemple, la Arnaud Deschin galerie aura proposé une exposition personnelle de l’artiste David Evrard, « I Like It Raw ». Le curateur de l’exposition, Patrice Joly, décrivant l’une des œuvres les plus connues de David Evrad, Spirit of Ecstasy (paru aux Presses du Réel, en 2012), comme étant une « épopée onirico trash dans les méandres de la création artistique contemporaine ». Courant 2017, l’exposition photographique de Marc-Antoine Serra, « A Backroom is a Backroom is a Backroom », prolongera cette exploration irrévérencieuse des codes en vigueur. Au fil des mots et des images.

 

Soutien galerie, associée de 2015 à 2019:

Émilie Segnarbieux, édition print et web, contact@emiliesegnarbieux.com